Les OVNI existent bien physiquement...
(citation de Jean-Jacques Velasco)
La première journée Ufologique Internationale de Drummondville se déroule, aujourd'hui, et plusieurs conférenciers se succéderont pour expliquer leur point de vue sur le phénomène des OVNI.
Le responsable dela journée, François C. Bourbeau a éte, très enthousiaste lorsqu'il parle de ses invités. ... «Ça va être passionant, prévoyait-il, hier. Cette journée permettra aux Québécois de voir qu'il se fait de bon travaux sur le phénomène OVNI.»
Parmi les conférenciers, le français Jean-Jacques Velasco affirme détenir la preuve que «les OVNI existent bien physiquement». M. Velasco ouvre l'activité en livrant la première conférence de la journée. On promet que sa démonstration risque d'ébranler certains sceptiques durs.
Auguste Meessen expliquera, pour sa part, comment il a reproduit en laboratoire «un champ magnétique comparable à ce que les OVNI sont capables eux-mêmes de produire.» Ses expériences permettraient d'expliquer le mode de propulsion des engins que l'on appelle communément des soucoupes volantes.
Le mentor de François Bourbeau a également accepté de s'adresser aux initiés et aux .profanes, lors de cette première journée ufologique. M. Jacques Vallée proposera une hypothèse nouvelle, soit, «que les OVNI puissent être le fruit d'une intelligence non-humaine, pouvant cohabiter avec nous dans un même espace, mais dans un temps différent.»
Aussi, Jean-Claude Ribes, un astrophysicien, passionné d'exobiologie, une science qui se consacre à l'étude des possibilités de vie extraterrestre se retrouve aussi sur les la liste des conférencier.
François Bourbeau s'entretiendra avec le gendarme Denis Plante, responsable des Relations publiques au bureau de la GRC à Westmount. Il tentera de le «faire Parler» sur ce qui se fait dans le dossier OVNI du côté de la GRC.
L'ufologue drummondvillois indiquait hier que seulement 300 billets avaient trouvé preneur en pré-vente. On attendait, au départ accueillir 1300 personnes. «Les gens restent avec leurs préjugés et s'imaginent qu'ils n'ont rien à apprendre sur le sujet. Au contraire, les personnes qui assisteront à cette journée, sortiront de là, complètement démêlées.»
Sources: Journal LA TRIBUNE (Sherbrooke) Page B-6, 18 Octobre 1997, journaliste Catherine Page.